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LE VENIN D'ABEILLE QUI GUERIT

  Auteur : sylvain Date : 14/06/2015
 

Maryse Pioch garde sur le seuil de sa maison une ruche, et utilise les abeilles comme dans une armoire à pharmacie. L'apipuncuture, c'est-à-dire l'acupuncture avec des piqûres d'abeille, lui a permis de vaincre sa sclérose en plaques. Comme elle l'explique, l'infirmière "attrape l'abeille, et la pose sur un point d'acupuncture précis".
Une méthode rapidement efficace
Face à l'inefficacité des traitements classiques, Maryse commence l'apipuncture en 2005, à un stade déjà bien avancé de la maladie. Les résultats sont visibles en trois mois seulement. "J'avais une forme de sclérose en plaques particulièrement douloureuse. Les douleurs ont cessé progressivement à 100%", assure-t-elle. Cette ancienne championne d'athlétisme a intensifié son traitement, avec jusqu'à 40 piqûres, trois fois par semaine. Au bout de deux ans, elle est finalement déclarée guérie.
 
VIDEO          francetvinfo.fr         LIEN

 

 
 
 
 

PIAGET : LES DIFFÉRENTS STADES

  Auteur : sylvain Date : 02/06/2015
 

DÉVELOPPEMENT  DE  LA  LOGIQUE  CHEZ  L’ENFANT

LES  DIFFÉRENTS  STADES


Piaget distingue, dans le développement de la logique chez l'enfant, trois stades principaux: Sensori-Moteur, Concret (précédée d'une période Pré-opératoire), et Formel. Chaque stade se caractérise par un plan de connaissance distinct ainsi que par un certain degré de complexité des activités cognitives. Selon Jean Piaget, le développement intellectuel de l'enfant ne se fait pas régulièrement mais passe par certains stades. Comme nous l'avons vu précédemment, il détermine trois stades parmi lesquels il insère une étape qu'il nomme période. Il s'agit:

1/ Un stade Sensori-Moteur : (de la naissance à 2 ans)
2/ Une période Pré-Opératoire (de 2 à 6 ou 7 ans)
3/ Un stade des Opérations Concrètes (de 6 ou 7 ans à 11 ou 12 ans)
4/ Un stade des Opérations Formelles ou hypothético-déductif) (de 11 ou 12 ans)

Le stade de l'intelligence sensori-motrice

Celui-ci dure de la naissance à deux ans. On peut s'étonner de l'appellation "intelligence" à ces âges mais dans la perspective piagétienne il existe une intelligence (pratique) avant le langage mais pas de pensées avant l'avènement de celui-ci. Ainsi, à partir de réflexes simples et d'habitudes acquises, le stade sensorimoteur aboutit à la construction de conduites de plus en plus structurées et complexes. Ce stade est caractérisé par la construction du schème (forme de connaissance qui assimile les données du réel et qui est susceptible de se modifier par l'accommodation à cette réalité), de l'objet permanent et la construction de l'espace proche (lié aux espaces corporels). Lors des stades suivants, l'enfant reconstruit en pensée et en représentation ce qui lui était acquis lors du stade de l'intelligence sensori-motrice.

La période pré-opératoire (2 ans - 6;7 ans)
Pendant cette période, la pensée de l'enfant se constitue en tant qu'intelligence représentative qui pourtant n'englobe pas encore les opérations réversibles. Cette période est caractérisée par l'avènement des notions de quantité, d'espace, de temps, de la fonction symbolique, du langage, etc... Cette période, ainsi que la prochaine, nous intéressera tout particulièrement pour l'analyse de l'épreuve piagétienne de la Conservation du Nombre.

Stade des opérations concrètes
Entre 6-7-11 ans, l'enfant se situe dans le stade des opérations concrètes et est capable de coordonner des opérations dans le sens de la réversibilité ainsi que d'une certaine logique nécessitant encore un support concret.

Stade des opérations formelles
Avec l'avènement du stade des opérations formelles (11-12 ans avec un équilibre entre 14-15 ans), la connaissance atteint une logique formelle et la pensée procède de façon hypothético-déductive. Ce stade est caractérisé par la présence d'opérations à la seconde puissance, d'instruments logico-mathématiques, d'une combinatoire (sur les événements verbaux et symboliques), etc..

Récapitulations
Au niveau Pré-Opératoire, l'enfant n'est pas capable de comprendre que la quantité de matière, le poids,... d'un objet ne change pas lorsque cet objet subit certaines modifications topographiques (ex. l'épreuve des jetons) ou physiques (ex : épreuve des boulettes). C'est seulement à partir du stade des Opérations Concrètes que l'enfant acquiert une certaine logique qui lui permet d'admettre la conservation. Cette logique ne porte que sur les objets manipulables réels, concrets ; l'enfant a besoin d'un apport visuel. Il s'agit donc d'une logique différente de celle du stade suivant qui, elle, s'applique également aux opérations hypothétiques, virtuelles, aux propositions. A ce stade, nous pouvons tout de même parler de logique car les opérations sont coordonnées, groupées en systèmes d'ensemble. En effet, une classe logique, un concept n'existe pas à l'état isolé, il faut plusieurs éléments pour créer un tout ; c'est ce que l'on appelle une classification. De même une relation de comparaison Ex : " plus grand que... " n'existe pas isolée, c'est une partie d'une structure que l'on appelle sériation. Ce sont ces structures qui se construisent vers sept ans et qui font les notions de conservation devienne possibles. Durant la période précédente, l'enfant ne considère les opération qu'individuellement, il n'arrive pas à les coordonner, d'où l'absence de logique.
Selon Piaget, l'enfant passe par des phases d'équilibration successives ; tout d'abord entre l'intuition simple et l'intuition articulée puis entre cette dernière et une phase mobile qui est dite opératoire. Le critère de passage de l'intuition à l'opération est la réversibilité des actions intériorisées. C'est en découvrant l'inversion possible des transformations, donc la réversibilité des actions évoquées par la représentation, que l'enfant arrive à coordonner et constituer un début de logique concrète. Sitôt que les actions se transforment en opérations réversibles, celles-ci peuvent être groupées en systèmes/structures d'ensemble, qui se nomment groupements. C'est grâce à de tels groupements que l'enfant arrive à résoudre des problèmes laissés sans solution dans le stade précédent. Ex : classifications, sériations des quantités, de poids, de longueurs, de surfaces, d'ordre temporel, de durée, de vitesse... Nous revenons sur les opérations concrètes dans la page suivante.

 

DOCUMENT     yrub.com/psycho/piaget.htm     LIEN

 
 
 
 

TROUBLES AUDITIFS - URGENCE

  Auteur : sylvain Date : 07/03/2015
 

Troubles auditifs : comment sensibiliser les jeunes ?


        Les 13-25 ans ont-ils conscience que les problèmes auditifs peuvent les concerner ? Sont-ils sensibles aux messages de prévention ? C'est ce qu'a voulu déterminer une enquête.
       
Campagne choc comme il en existe pour la sécurité routière, distribution systématique de bouchons à l'entrée des concerts ou des boîtes : une étude parue jeudi envisage plusieurs pistes pour sensibiliser les nouvelles générations, alors qu'un jeune sur deux est concerné par des troubles auditifs.

52 % ne se sentent pas menacés par la perte d'audition

DOULEUR. 49% des 13-25 ans ont déjà ressenti une douleur dans l'oreille, un sifflement, un bourdonnement, une perte brusque d’audition à la suite d'une exposition sonore trop élevée, mais la majorité (59 %) n'a rien fait, préférant attendre "que ça passe", tel est le paradoxe soulevé par l'enquête Ipsos intitulée "Risques auditifs : les jeunes font encore la sourde oreille. Des clés pour agir", réalisée pour la 18e édition de la Journée nationale de l’audition (JNA) qui aura lieu le 12 mars. La preuve : 70% des jeunes interrogés placent les problèmes de vue devant les problèmes auditifs. Et plus d'un sur deux (52 %) déclare ne pas du tout se sentir menacé par la perte d'audition. Quant aux gestes de prévention, ils apparaissent comme une contrainte supplémentaire pour 28 % des jeunes interrogés.
L'enquête relève toutefois que les messages de prévention ont progressé par rapport à une enquête similaire réalisée en 2012: 62% des jeunes déclarent "avoir vu, lu ou entendu des messages de prévention pour protéger ses oreilles" contre 54 % trois ans plus tôt. La notion de "pause auditive", c'est-à-dire le temps de récupération nécessaire au système auditif, a notamment fait son chemin, relève l'étude; un quart des jeunes et un tiers des parents en ont... entendu parler.


73 % estiment que l'école doit aborder le sujet
SOLUTIONS. Les participants ont par ailleurs été interrogés sur les solutions de sensibilisation envisagées: les jeunes approuvent l'idée d'un suivi régulier des capacités auditives (79 %), d'une application sur smartphone qui alerterait en cas de dépassement du niveau acceptable (73 %), ou encore d'une campagne de communication choc (67 %).
D'autres solutions sont également évoquées, telle la distribution systématique de bouchons d'oreille (37 %), mais convainquent moins : 44 % considèrent en effet que "ça fait ringard" et 38 % que "ça n'est pas esthétique". Enfin, la plupart des personnes interrogées (jeunes et parents) estiment que l'école doit aborder le sujet, notamment pendant les cours de sciences de la vie et de la terre (73 %), ou lors des visites médicales scolaires ou universitaires (68 %).
ENQUÊTE. Réalisée du 11 au 18 février 2015, l'enquête JNA – Ipsos a sondé un panel de 600 jeunes âgés de 13 à 25 ans et 300 parents d'enfants âgés de 13 à 18 ans.

 

 DOCUMENT        sciencesetavenir.fr      LIEN

 
 
 
 

LE TEMPS DES NEURONES

  Auteur : sylvain Date : 22/02/2015
 

LE TEMPS DES NEURONES
Quinze minutes de plongée dans le monde étrange et fascinant de nos cellules nerveuses. Grâce aux techniques de la microcinématographie, les phénomènes les plus complexes qui se déroulent dans le cerveau sont enfin montrés. Nous voyons naître les cellules nerveuses, nous les voyons grandir, travailler, mourir. Ces images mettent en évidence deux acteurs principaux : les cellules gliales, responsables de l'architecture et du nettoyage du cerveau, et les neurones qui ont pour fonction de communiquer en produisant des signaux. Un voyage dans le moi le plus intime.
GénériqueAuteurs : Marcel Pouchelet, William Rostène et Jean-François Ternay Réalisateur : Jean-François Ternay Producteur : CNRS Audiovisuel Diffuseur : CNRS Diffusion


VIDEO          CANAL  U          LIEN


(si la video n'est pas accéssible,inscrivez  le titre dans le moteur de recherche de CANAL U.)

 
 
 
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