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L H C

  Auteur : sylvain Date : 31/08/2013
 

DOCUMENT      CNRS        LIEN

 

 25 juillet 2011

  LHC et physique des particules : derniers résultats et nouveaux enjeux

  Conférence de presse

  Le lundi 25 juillet, à 13h30 (heure de Paris)

  à Grenoble

 

 

 Quels nouveaux secrets les neutrinos ont-ils révélés ? Matière noire, boson de Higgs, où en sont les découvertes ? Après plus d'un an de fonctionnement, c'est l'heure du premier bilan pour le LHC. Mi-juin, ses expériences ont atteint plus de 70 millions de millions de collisions en 3 mois, soit l'objectif fixé pour l'ensemble de l'année 2011. Cette performance laisse espérer des avancées dans les mois qui viennent, alors que se discutent déjà l'avenir du LHC et le démarrage de nouveaux projets : quelle stratégie adopter en Europe aujourd'hui pour la physique des particules de demain ?

 

 

Ces thématiques ont été abordées lors de la conférence de presse sur les tout derniers résultats 2011 en physique des particules et les perspectives pour l'avenir, qui s'est tenue dans le cadre de la conférence « Europhysics Conference on High Energy Physics » - HEP 2011. Rendez-vous incontournable en physique des hautes énergies, cette conférence est organisée cette année par la Société européenne de physique, avec le soutien de la communauté scientifique française (CNRS, CEA et universités).
 
 
 
 

NEUROLOGIE DE L'AUDITION

  Auteur : sylvain Date : 21/08/2013
 

Neurobiologie de l'audition


Les voies de l’audition : entre l’organe sensoriel et le cortex

Une des particularités du système auditif, comparé aux autres modalités sensorielles, est qu’il présente plusieurs centres de traitement entre le récepteur sensoriel et le cortex. D'une manière générale, la reconnaissance des stimulations sonores demande différents niveaux de traitements successifs.
Le nerf auditif est constitué par environ 35.000 fibres nerveuses, dont 5 % viennent du cerveau et régulent le fonctionnement de l'oreille interne, et surtout les mécanismes de l'organe de Corti.
Si le message sonore émane de sources sonores de natures variées, une phase de groupement perceptif prend place. Les événements sonores ainsi intégrés par groupes permettent à l'auditeur de percevoir les sources comme différentes. Cette discrimination est facilitée par les fibres efférentes (émergeant du tronc cérébral, par opposition aux fibres afférentes qui y arrivent), qui vont accentuer le contraste d’un signal sonore au milieu d’un bruit.
Puis suit une phase dite d'analyse de propriétés et de traits, qui consiste en l’identification des éléments invariants de la source, liés à sa structure ou à ses transformations, ainsi que de ceux relatifs au rythme de l'événement sonore ou à sa texture.
L'avant-dernière phase ajuste et compare ces propriétés auditives à celles préservées en mémoire.
La dernière, enfin, active le lexique verbal : l'événement sonore est reconnu, identifié.
Si bien que, lors d'une interprétation musicale, les auditeurs savent percevoir, au sein d'une polyphonie complexe, lequel des instruments joue telle ou telle partie. Les indices acoustiques génèrent des représentations mentales cohérentes, d'abord grâce à l'extrême finesse du complexe organe de Corti - membrane basilaire, puis au moyen de la confrontation cérébrale des similarités et des dissemblances de constitution dans l'événement musical.

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PHOTOGRAPHIE D'ELECTRONS EN MOUVEMENT

  Auteur : sylvain Date : 11/08/2013
 

Paris, 25 février 2010

Première "photographie" d'électrons en mouvement dans une molécule
La première "photographie instantanée" d'électrons en mouvement au coeur d'une molécule vient d'être obtenue par des équipes du CEA (1), du CNRS et de l'Université Pierre et Marie Curie (2). Cette photographie par rayonnement X a été obtenue en couplant une résolution temporelle extrêmement élevée, à l'échelle de l'attoseconde (3), à une résolution spatiale très fine (de l'ordre de l'Angström (4)). Ce résultat fait l'objet d'une publication dans la revue Nature Physics du 1er mars.
À l'échelle microscopique, la physique quantique interdit de mesurer simultanément et de façon précise la position et la vitesse d'une particule (c'est le fameux principe d'incertitude d'Heisenberg). De plus, à cette échelle, toute mesure vient perturber le système et le fige dans un état quantique qui était indéterminé avant la mesure. Les mesures que l'on effectue
sur la vitesse, la position ou toute autre grandeur physique de particules subatomiques n'expriment donc pas des certitudes, mais seulement des probabilités.

La modélisation de ces mesures probabilistes pour décrire les atomes et les molécules reposent directement sur la notion de fonctions d'onde appelées « orbitales » dans ce contexte, qui d'un point de vue formel, ne sont que des intermédiaires mathématiques.
Ce qui a donné lieu à de nombreuses discussions autour de la question suivante : les fonctions d'onde sont-elles observables ou ne sont-elles qu'un outil mathématique ?

Un pas a été franchi en 2004 lorsqu'une équipe canadienne a proposé un moyen de visualiser une orbitale moléculaire (5) à partir de données expérimentales. La méthode repose
sur une analyse tomographique du rayonnement X émis par des molécules excitées par une impulsion laser intense.

Pour la première fois, une telle reconstruction vient d'être réalisée par une collaboration réunissant le groupe de théoriciens animé par Richard Taïeb (LCPMR, UPMC/CNRS) et le groupe d'expérimentateurs piloté par Pascal Salières (CEA/Iramis). Spécialisées dans la caractérisation, le contrôle et l'exploitation du rayonnement X
attoseconde généré en champ laser intense, ces équipes sont parvenues à créer les conditions permettant de reconstruire simultanément les deux orbitales les plus externes de la molécule de diazote N2.

Tirant bénéfice du caractère ultrabref de l'émission X, ces chercheurs ont obtenu un "instantané" de la fonction d'onde des électrons de la molécule excitée par le laser, 1500 ±
300 attosecondes (as) après sa mise en mouvement. Ces nouveaux résultats montrent que, dans certaines conditions, les fonctions d'ondes sont observables.

DOCUMENT            CNRS               LIEN

 
 
 
 

UN MEDICAMENT : LE MIEL

  Auteur : sylvain Date : 28/07/2013
 

Il y a 6 000 ans, le miel était utilisé par les Sumériens pour traiter les infections. Le Papyrus de Berlin, rédigé en Égypte au XIVe siècle av. J.-C., décrit 48 cas de plaies diverses traitées avec du miel. Les Grecs, en la personne d’Hippocrate (460 av. J.-C., ), citent le miel comme médicament. Actuellement les propriétés du miel sont de plus en plus reconnues et nombreuses sont les publications scientifiques qui attestent des intérêts du miel pour la cicatrisation des plaies, des brûlures et autres lésions cutanées.

Plusieurs méta-analyses, menées par des équipes très pointues quant aux propriétés du miel, ont évalué l’efficacité d’un traitement au miel sur des brûlures ou des lésions cancéreuses s’accompagnant le plus souvent de nécrose. Il en ressort que le miel est bénéfique sur les lésions stomatologiques, les plaies post-chirurgicales, les mucosites (inflammation des muqueuses apparaissant suite à certaines chimiothérapies) et est plus efficace pour la prise en charge de brûlures que les traditionnels pansements gras.

Le miel est composé à 75 à 80 % de sucre (fructose, glucose, saccharose…), de 17 % d’eau, de 1 % de protides, de vitamines, minéraux et oligo-éléments, d’enzymes (a et b-amylases, gluco-oxydase, catalase…) et d’un grand nombre de phyto-micro-constituants (polyphénols, molécules aromatiques). La composition spécifique de ces derniers est en partie dépendante de l’origine florale du miel. La composition du miel lui confère des propriétés très particulières, notamment une forte osmolarité et un pH relativement acide (compris entre 3.5 et 5.5).

Pouvoir antibactérien

La propriété cicatrisante du miel peut être séparée en deux types d’activité : d’une part, une activité antimicrobienne et, d’autre part, une activité stimulatrice des tissus épidermiques. De nombreuses études in vitro ont démontré l’action antimicrobienne du miel. La présence de peroxyde d’hydrogène (un puissant bactéricide) produit par la gluco-oxydase, la présence de nombreux flavonoïdes, l’acidité et l’osmolarité sont des éléments importants qui contribuent à l’effet antimicrobien. Le miel inhibe donc la croissance de nombreux germes pathogènes dont Pseudomonas pycyanea, Pseudomonas aeruginosa, Escherichia coli, Staphylococcus aureus, Proteus mirabilis, Bacillus subtilis, Streptococcus faecalis, Streptococcus pyogenes, des Enterobacter, des coliformes et des Klebsiella. D’autres études ont également montré que le miel de manuka exerçait une activité antibactérienne sur différentes souches gram+ résistantes aux antibiotiques (Staphylococcus methillinorésistant ou Enterococcus vancomycinorésistant).

Cicatrisation

Lors du processus de cicatrisation, lorsque le miel est déposé sur la plaie, les différents éléments bactéricides vont empêcher le développement des bactéries, et la forte osmolarité du miel va générer un flux de lymphe vers l’extérieur, entraînant avec lui bactéries et autres débris cellulaires.

Le miel contribue à garder une atmosphère humide au niveau de la plaie qui facilite la régénération de l’épithélium à la surface de la plaie plutôt que sous la croûte comme c’est le cas pour les plaies sèches. Son côté visqueux et humide permet également de changer régulièrement les pansements au miel (en fonction de la taille de la plaie et de son exsudation) sans arracher le nouveau tissu en pleine reconstruction, et sans douleur pour le patient. Des expériences in vitro ont montré que le pH, la teneur en peroxyde d’hydrogène et la vitamine C, créent un environnement favorable à la stimulation des fibroblastes (migration, prolifération et organisation du collagène) et à une néovascularisation dans le tissu cicatriciel.

Les vertus cicatrisantes du miel sont de nos jours bien connues et décryptées. De nombreuses équipes médicales à travers le monde utilisent maintenant cette technique de pansements pour favoriser les processus de cicatrisation. À ce titre, citons l’immense travail du professeur Descottes et de toute son équipe au CHU de Limoges qui travaillent maintenant depuis plus de vingt-cinq ans à établir des protocoles de soins très rigoureux et très efficaces. Au cours de toutes ces années, cette équipe a utilisé le miel pour soigner plus de 3 000 patients avec un taux de réussite de 98 % ! Cette technique se révèle ainsi très avantageuse, non seulement par son efficacité pour augmenter la vitesse de cicatrisation, mais aussi par son faible coût économique.

Nicolas Cardinault

DOCUMENT         bio-info.com             LIEN  

 
 
 
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